Pour moi, dans le drame national, la politique devait être l’action au service d’une idée forte et simple. Mais eux, poursuivant les mêmes chimères qu’ils caressaient depuis toujours, n’acceptaient pas qu’elle fût autre chose qu’une chorégraphie d’attitudes et de combinaisons, menée par un ballet de figurants professionnels, d’où ne devaient sortir jamais qu’articles, discours, exhibitions de tribuns et répartition de places.